Nous avions des traces de pas un peu étranges. Nous savions son appétit pour les cerises grâce aux noyaux trouvés... hum... en paquet ici ou là. Une nuit j'avais même été réveillé par des glapissements très inhabituels. Et cette présence d'un trou dans la haie de charmille, à travers un grillage trop permissif. Passage que je croyais fait par les chats du voisinage.

Et hier après-midi, en pleine lumière, la preuve que ce n'était ni un chat, ni un chien mais bien un goupil.